Sunday, January 27, 2008

La France paralysée devant ses mauvais résultats scolaires

Ces deux textes suivants sont après l'article
La France paralysée devant ses mauvais résultats scolaires [lemonde.fr]

Les différences entre la France et le Japon


Il y a plusierus différences entre la France et le Japon en ce qui concerne les résultats de l'enquête de PISA. Bien que les deux pays constatent une baisse de leurs résultats, Eric Charbonnier pense que c'est à cause des raisons différentes: Au Japon, il y a moins de bons élvèves, lorsqu'en France, il y a plus de mauvais élèves. En outre, le Japon éprouvait un "choc PISA" (l. 17) et, en conséquence, il a poussé des réformes éducatives. Cependant, les Français n'ont pas pris les résultats de PISA au sérieux et ils n'ont pas réussi à entreprendre des réformes éducatives. Par exemple, le Japon a établi "un système d'évaluation national" (l. 19) de ses élèves comme plusieurs autres pays. En France, cette évaluation des efforts des élèves manque presque complètement.

La situation en Allemagne

Quand on lit le texte on a l'impression que le système scolaire en Allemagne est très bon et très actif. L'Allemagne réagit avec plusieurs réformes éducatives après avoir éprouvé un "choc PISA" à cause des mauvais résultats. Par exemple, une réforme établit 250 "laboratoires pour enfants" (l. 22) pour développer la curiosité des élèves pour les sciences, parce que l'enquête le plus récent de PISA vient de tester les sciences. De plus, il y a une initiative au niveau fédéral qui veut allonger et augmenter les cours l'après-midi pour que les élèves apprennent plus de choses. Ces réformes montrent que l'Allemagne prend les mauvais résultats de PISA très au sérieux et qu'elle essaie vraiment d'améliorer son système scolaire. C'est évident parce que toutes ces réformes co^utent beaucoup d'argent que l'Allemagne est prête à investir. Quand même je pense que le texte exagère sur la situation en Allemagne et la présente sous un trop beau jour.

Saturday, January 26, 2008

La conclusion

Je crois que cette philosophie universelle est une raison principale pourquoi « Le Petit Prince » est devenue un livre si célèbre avec beaucoup de traductions et de nombreuses adaptions cinématographiques. En comparaison, bien qu'il y en a aussi plusieurs traductions, le livre « Totto-chan » n'est pas si connu en dehors de l'Asie, et alors, du point de vue de la popularité, elle ne peut pas être comparé avec « Le Petit Prince ». Tout de même, j'aime beaucoup ce livre, et j'espère que je pourrai le rendre un peu plus célèbre avec cet essai!

6. Les différences principales

Après avoir montré tant de similarités, il faut aussi parler des différences. Puisqu'il y a toujours de nombreuses différences entre deux livres, c'est impossible de les énumérer tout. C'est pourquoi je vais seulement me concentrer sur les différences fondamentales.

6.1 Les personnes
La différence entre les auteurs est bien sûr que l'un est une femme et l'autre est un homme. D'ailleurs, puisque Tetsuko vient du Japon, « Totto-chan » n'est pas dans la langue originale, mais plutôt une version traduite. Juste comme les auteurs, les personnages principaux sont également une fille et un garçon.

6.2 L'évolution des livres
En outre, il y a une différence signifiante dans l'évolution des deux livres. Les petits chapitres de « Totto-chan » étaient d'abord publiés dans un magazine japonais, et seulement plus tard, c'est devenue un livre. C'est pourquoi le livre consiste des petites histoires séparées, et aussi pourquoi le livre complet est plus long que « Le Petit Prince ». En outre, « Totto-chan » est un livre autobiographique, et à cause de cela, toute l'action est la vérité. Au contraire, « Le Petit Prince » est un peu comme une fable, puisqu'il y a quelques éléments fantastiques, comme le voyage du petit prince à travers l'univers.

6.3 L'accent des livres
L'accent des deux livres n'est pas le même non plus. Bien qu'ils ont beaucoup de thèmes en commun, « Totto-chan » se concentre plus sur l'éducation de l'enfant. Presque tout le livre parle de l'expérience de Totto-chan à Tomoe, et cette éducation extraordinaire est le message principal que l'auteur veut partager avec ses lecteurs. A l'autre côté le content et les thèmes dans « Le Petit Prince » sont d'une façon plus universelle. Par exemple, lorsque le petit prince visite les autres planètes, il fait la connaissance des grandes personnes différentes, qui sont une représentation de certains groupes de gens dans notre monde. Alors, on peut dire que l'auteur veut nous montrer une philosophie générale et une image complète de notre monde.

5. Les parallèles entre les thèmes importants

5.1 L'amitié
L'amitié est un thème prévalent dans les deux livres. Avoir des amis, ça veut dire être là pour l'autre, et qu'on se laisse « apprivoiser » (Le Petit Prince, p. 71). Pour Totto-chan et le petit prince, leurs amis jouent un rôle important.
Totto-chan est amie avec les autres élèves. Un incident exemplaire se passe un jour quand elle décide: « Je vais laisser monter Yasuaki-chan dans mon arbre!» (Totto-chan, p. 87). Chez Tomoe, chaque élève a un arbre favori sur lequel il peut monter pendant la récréation. Seulement Yasuaki-chan n'en a pas, parce qu'il a la polio, et ainsi, il n'a pas de force dans ses bras et ses jambes. C'est « la grande aventure » (Totto-chan, p. 87) quand elle lui aide à monter sur son arbre. Après beaucoup de temps et d'effort ils arrivent finalement, et Yasuaki-chan est très heureux et reconnaissant envers Totto-chan, parce que c'est son seul fois sur un arbre dans sa vie.
Dans « Le Petit Prince » il y a un renard sage qui apprend beaucoup de choses sur l'amitié au petit prince. Pour le renard, être des amis signifie apprivoiser quelqu'un. Il explique qu'apprivoiser veut dire « créer des liens » (Le Petit Prince, p. 71). Puisque le petit prince ne comprend pas encore, le renard explique:
Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde. (Le Petit Prince, p. 72)

Comme ça, le petit prince voit qu'un ami est très précieux et unique dans le monde. Plus exactement, il comprend que sa rose est différente des milles roses qu'il a vues, et qu'il doit être là pour sa rose. C'est pourquoi il décide de rentrer à sa planète à la fin, même avec l'aide du venin d'un serpent.
Le comportement de Totto-chan et du petit prince et leur engagement pour leurs amis ont beaucoup de parallèles. Les deux sont prêts d'aider et de soutenir leurs amis. Cela nous montre le vrai valeur de l'amitié.

5.2 Les Animaux
Dans le comportement des enfants envers les animaux il y a aussi certaines parallèles. Au premier rencontre du pilote avec le petit prince, celle-ci lui demande, en plein désert: « S'il vous plaît ... , dessine-moi un mouton! » (Le Petit Prince, p. 15) Il se souhaite un mouton pour sa petite planète et il fait beaucoup d'attention quand le pilote dessine, parce qu'il ne veut pas un mouton malade ou un mouton trop vieux. Cela montre que ce mouton est très important pour lui.
Totto-chan, elle aussi aime les animaux. Une fois, à la foire, elle voit un marchand de poussins, et elle se souhaite deux poussins. Lorsque ses parents ne sont pas d'accord au début, elle devient très triste en disant « Je ne vous demanderai rien d'autre de toute ma vie! » (Totto-chan, p. 113) Alors, elle aussi veut un animal de toute sa cœur .
Ce comportement similaire nous montre l'amour des deux enfants pour les animaux. D'ailleurs, je pense que c'est typique pour tous les enfants, qu'ils aiment jouer avec les animaux.

4. Une comparaison entre les adultes

4.1 Les adultes incompréhensifs
Maintenant, j’aime bien analyser l’autre côté, c’est-à-dire les adultes mentionnés dans les livres. J’ai constaté que la plupart des grandes personnes dans « Le Petit Prince » est montré comme incompréhensif envers les enfants. C’est déjà évident dans le premier chapitre dans lequel l’auteur raconte de son premier dessin qui représente un serpent boa qui digère un éléphant. Le petit prince comprend immédiatement ce que l’image représente, lorsque les grandes personnes voient seulement un chapeau. Cela montre que les adultes n'ont pas autant de fantaisie que les enfants et qu'ils ne comprennent pas le point de vue des enfants. Juste comme Saint-Exupéry l'écrit «Elles ont toujours besoin d’explications » (Le Petit Prince, p. 14).
Dans « Totto-chan » il y a aussi certains adultes qui ne comprennent pas les enfants. Là, c’est également mentionné au début du livre quand Totto-chan est encore à son école antérieure. Son institutrice ne comprend pas son comportement et ne peut pas s'entendre avec elle. Elle trouve seulement que Totto-chan est insupportable et qu'elle dérange la classe. Elle demande même aux autres professeurs « Pourquoi est-elle comme cela? » (Totto-chan, p. 268) ce qui indique son incompréhension. A la fin elle est si désespérée qu'elle renvoie Totto-chan. Cela montre que c'est parfois très difficile pour les adultes de s'entendre avec les enfants et de comprendre leur point de vue.

4.2 Les adultes compréhensifs
Néanmoins, il y a aussi des adultes dans les deux livres qui comprennent bien les enfants. Par exemple, le directeur aime beaucoup les enfants, et il a une fonction très importante dans tout le livre. Egalement, le pilote dans « Le Petit Prince » joue un rôle central, et c’est pourquoi je vais comparer quelques qualités de ces deux adultes.

4.3 Soutenir les enfants
Une fonction importante d'un adulte est de soutenir l'enfant et de l'accompagner pendant son développement. Le pilote et le directeur essaient de faire cela beaucoup de temps. Quand le pilote apprend l'histoire du petit prince peu à peu il se sent responsable pour lui et veut l’aider. Le cinquième jour après l’apparition du petit prince, le pilote comprend le drame de la rose sur sa planète, et, en ne le prenant pas au sérieux, le petit prince devient coléreux et triste. En ce moment le pilote abandonne son travail et réalise qu’il y a « un petit prince à consoler » (Le Petit Prince, p. 34). Cela montre que le pilote se sent responsable pour lui. En outre, il essaie d’aider le petit prince qui lui semble comme « un trésor fragile » (Le Petit Prince, p. 82). Quand ils trouvent un puits, il dit « laisse-moi faire […] c’est trop lourd pour toi » (Le Petit Prince, p. 84) parce qu'il ne veut pas que le petit prince fasse un effort.
Le comportement du directeur montre certaines parallèles, puisqu’il veut aussi soutenir les enfants. Par exemple, chaque fois qu’il voit Totto-chan, il dit « Tu sais, Totto-chan, en vérité, tu es très gentille! » (Totto-chan, p. 199) C’est signifiant parce que Totto-chan fait souvent des bêtises accidentellement et atteint que les adultes se fâchent d'elle. Mais grâce à cette phrase répétée par le directeur, il lui reste le savoir dans sa cœur qu’elle est une bonne personne. Cela soutient Totto-chan et lui donne confiance pour toute sa vie.

4.4 Comprendre les enfants
En plus, le pilote et le directeur comprennent les enfants de plus en plus. Au début, le pilote a quelques difficultés à croire les choses que le petit prince lui raconte. Mais après avoir écouter son histoire, le pilote comprend ses chagrins et ses sagesses. Par exemple, pendant leur quête pour un puits, la chose suivante se passe:
Il me dit simplement:
« L’eau peut aussi être bonne pour le cœur… »
Je [le pilote] ne compris pas sa réponse mais je me tus… Je savais bien qu’il ne fallait pas l’interroger. (Le Petit Prince, p. 81)

C’est une des sagesses du petit prince que le pilote ne comprend pas au début. Plus tard, en donnant de l’eau à boire au petit prince, il exclame « Et je compris ce qu’il avait cherché! » (Le Petit Prince, p. 85) Il comprend que le petit prince était soif tout le temps, et que cet eau est bon pour le cœur, parce qu’il y a son effort dedans – l’effort de porter le petit prince, de chercher un puits dans le désert et d'hisser le seau. Le pilote voit bien qu’il peut apprendre beaucoup de choses du petit prince, parce que celle-ci est très sage.
Le directeur a aussi une compréhension extraordinaire pour les enfants, ou dans les mots de l’auteur: « Le directeur savait vraiment comment faire le bonheur des enfants » (Totto-chan, p. 85). Un événement exemplaire se passe dans le chapitre « Les nattes » (Totto-chan, p.163) où Totto-chan va à l’école avec deux nattes dont elle est très fière. Quand un garçon aperçoit la différence de sa coiffure, elle se sent heureuse, mais malheureusement il commence à tirer ses tresses jusqu’à ce qu’elle tombe à terre. Puis le garçon essaie de la relever par ses tresses tout en exclamant « Oh, hisse! Oh, hisse! » (Totto-chan, p.165). La triste fille court à M. Kobayashi et, en larmes, elle lui raconte toute l’histoire. Celle-ci écoute avec attention, et puis il lui fait un compliment sur ses nattes qu’il trouve « magnifiques » (Totto-chan, p.166). Cela montre son compréhension pour les enfants, parce qu’ « il n’en fallait pas plus à Totto-chan pour retrouver le sourire » (Totto-chan, p.166). En plus, c’est extraordinaire que le directeur explique au garçon qui vient d'agacer Totto-chan qu’il faut « faire preuve d’attention et de gentilles envers les filles » (Totto-chan, p.167), parce que c’est très atypique au Japon à cette époque de dire aux garçons qu'il faut respecter les filles et les traiter avec égalité. Tout cela montre que le directeur sait comment traiter et respecter les enfants.

3. Une comparaison entre les enfants

3.1 Le petit prince et Totto-chan
Comme déjà montré dans le résumé, les deux personnages principaux sont le petit prince et Totto-chan. On voit bien qu'ils sont des enfants. Dans les titres on peut déjà constater la similarité entre « Le Petit Prince » et « la petite fille ». De plus, le petit prince est adressé par « un petit bonhomme » (Le Petit Prince, p. 16) pendant que la petite fille est adressée par « Totto-chan » dont « –Chan » est un suffixe affectueux japonais pour appeler les très jeunes filles.1
Mais quelles autres parallèles existent-ils? Dans ce qui suit, je vais comparer les deux personnages plus profondément pour montrer les parallèles.

3.2 Leur joie de vivre
Puisqu’ils sont des enfants, ils montrent le comportement typique pour les enfants. Ils aiment rire et être heureux.
Quand le petit prince trouve quelque chose de drôle il a « un très joli éclat de rire » (Le Petit Prince, p. 20). Par exemple, il pense au début que le pilote vient d'un autre planète et qu'il est aussi tombé du ciel. Cela lui semble très amusant et lui fait rire.
Totto-chan, elle aussi, aime pousser « un cri de joie » (Totto-chan, p. 25) et elle a « un même éclat dans les yeux » (Totto-chan, p. 24) quand elle découvre quelque chose de fascinante. La première fois qu'elle voit l'école Tomoe, elle est ravie des vieux wagons et elle ne peut pas attendre de devenir une élève de cette école. Ici, on voit bien leur joie de vivre en face des nouvelles découvertes intéressantes.

3.3 Leur curiosité
Une autre qualité qu'ils ont en commun est leur curiosité, puisqu’ils aiment découvrir et comprendre le monde. A cause de cette curiosité ils posent beaucoup de questions. Le petit prince, « qui jamais de sa vie n’avait renoncé à une question une fois qu’il l’avait posée » (Le Petit Prince, p. 49) est juste comme Totto-chan qui pose les questions les plus surprenantes. Par exemple, la première fois qu’elle voit le directeur, elle lui demande s’il est chef de gare. Et dans son école antérieure elle va à la fenêtre pendant les classes pour crier aux musiciens dans la rue s’ils peuvent jouer quelque chose pour elle. Telles questions et la curiosité naturelle sont typiques pour les enfants.
Il y a également une parallèle surprenante au début des deux livres qui montre leur curiosité. Dans « Totto-chan » la fille doit quitter son école antérieure, et après, elle découvre l’école Tomoe. Cette école lui plaît beaucoup à cause de « son lot de surprises quotidiennes » (Totto-chan, p.59) et ses « milliers de choses à raconter » (Totto-chan, p.59). Elle attend chaque nouveau jour et sa curiosité ne cesse jamais. D’une façon similaire le petit prince quitte sa planète et découvre les autres planètes. Il va « les visiter pour y chercher une occupation et pour s’instruire » (Le Petit Prince, p. 40). Pour lui aussi, qui connaît seulement sa propre planète, ce sont des découvertes complètement nouvelles.

3.4 Leur incompréhension envers les adultes
En outre, ils ont en commun qu’ils ne comprennent pas les adultes parfois. En voyageant aux autres planètes le petit prince constate que « les grandes personnes sont décidément bien bizarres » (Le Petit Prince, p. 48) et même « tout à fait extraordinaires » (Le Petit Prince, p. 53). C’est parce qu’il trouve que les grandes personnes savent seulement s’occuper d’eux-mêmes et parce qu'il ne comprend pas leur comportement. Par exemple, le buveur but tout le temps pour oublier qu'il a honte d'être un buveur. Cela ne fait pas sens au petit prince.
Egalement, Totto-chan ne comprend pas pourquoi elle dérange les autres élèves dans son école antérieure et pourquoi l’institutrice se fâche de son comportement. Pour elle, il n'y a rien de faux de parler avec les musiciens, et quand elle est punie elle ne sait pas pourquoi. C’est la raison pour laquelle la mère décide de ne lui parler pas de son renvoi puisque « sa fille n’aurait pas comprit ce qu’elle avait fait de mal » (Totto-chan, p. 21).
Ici, on a vu les parallèles entre les deux personnages principaux. En conclusion, on peut dire que le petit prince et Totto-chan ont la fonction de montrer la perspective des enfants dans les deux livres.

Une comparaison entre « Le Petit Prince » et « Totto-chan, la petite fille à la fenêtre »

Les textes qui suivent appartiennent tout à mon essai:

Une comparaison entre « Le Petit Prince » et « Totto-chan, la petite fille à la fenêtre »

Un résumé de « Totto-chan, la petite fille à la fenêtre »

Le livre autobiographique « Totto-chan, la petite fille à la fenêtre » de Tetsuko Kuroyanagi parle de son enfance heureuse pendant les années quarante dans une école extraordinaire qui s’appelle Tomoe. Totto-chan est une petite fille qui est renvoyée de son école primaire à cause de sa curiosité. Elle veut explorer tant de choses pendant la classe, et l’institutrice se fâche parce qu’elle dérange les autres.
Après cela, la mère trouve l’école Tomoe dirigé par un directeur passionné et compréhensif pour les enfants qui s’appelle M. Kobayashi. A Tomoe l’éducation est très différente: il y a seulement une cinquantaine d’élèves, des vieux wagons servent comme des salles de classe, chaque jour les élèves peuvent s’asseoir là où ils veulent et étudier les matières dans l’ordre qu’ils veulent, et chaque après-midi les élèves sont autorisés de faire une promenade. A la première rencontre, M. Kobayashi permet à Totto-chan de parler de tout ce qu’elle veut et il l’écoute pendant quatre heures. Comme ça, Totto-chan devient une élève de Tomoe.
Elle aime beaucoup cette école et elle peut s’y intégrer et s'y développer naturellement en apprenant beaucoup de choses importantes, comme la tolérance, l'amitié, la créativité et la passion pour les choses qu’on fait. Grâce au directeur, les élèves écoutent des histoires des autres pays, ont des classes d’anglais et apprennent à apprécier des cultures différentes, puisqu’ils ont la chance d’être dans une école libre du nationalisme et de la propagande. Néanmoins, comme c’est pendant la guerre, Totto-chan fait l’expérience de l'intolérance et de la mort, et à la fin Tomoe est détruit par des bombardements. Avec ce livre Tetsuko Kuroyanagi pouvait finalement partager ses mémoires à Tomoe qui ont influencé toute sa vie.

Sunday, January 20, 2008

Un résumé de "Le Petit Prince"

« Le Petit Prince »
Le livre « Le Petit Pince » d’Antoine de Saint-Exupéry parle d’un pilote qui fait la connaissance d’un prince extraordinaire venant d’une autre planète. Le narrateur qui est pilote a une panne dans le Sahara. C’est là où il rencontre un petit garçon. Peu à peu le pilote apprend que c’est en fait un prince qui s’est enfuit de sa propre planète à cause d'une rose. C'est une rose unique qu’il aime beaucoup, mais qui le rend malheureux, parce qu’elle est très orgueilleuse et le commande tout le temps. Pendant son tour en travers l’univers il rend visite à plusieurs planètes où il fait la connaissance des grandes personnes différentes, comme un roi, un vaniteux et un buveur. Cependant il les trouve « décidément bien bizarres » (Le Petit Prince, p.48). La planète où il y a un allumeur de réverbères lui plaît à la meilleure, parce que ce travail lui paraît « véritablement utile » (Le Petit Prince, p.54). Finalement, il arrive sur la terre dans le désert en Afrique. Quand il y voit de nombreuses roses toutes comme la sienne (laquelle sur sa planète), il se sent stupéfait et triste, parce que maintenant il sait que sa rose lui a menti et qu’elle n’est pas unique du tout. C’est seulement avec l’aide d’un renard qu’il apprend que sa rose est différente des autres, parce que c’est le temps qu’il a investi pour sa fleur qui la rend unique. Comme ça, il comprend son importance pour sa fleur et décide de rentrer sur sa planète.

Une biographie d'Antoine de Saint-Exupéry

Antoine de Saint-Exupéry et son chef d’œuvre « le petit prince » sont très connus et appréciés dans le monde. Saint-Exupéry est né à Lyon en 1900 comme le troisième enfant. Il va au collège de Jésuites de Sainte-Croix du Mans et plus tard à l’Ecole de Beaux-arts en section d’architecture. Après sa formation scolaire il joint l’armée, et c’est là où il découvre sa grande passion pour l’aviation. Comme ça, il obtient le brevet du pilote civil et le brevet du pilote militaire et il devient sous-lieutenant au 33e régiment d’aviation. Pendant ce temps, il marie Consuelo Suncin et il publie son premier œuvre qui s’appelle « l’Aviateur ». Il est aussi pilote à la Campagne aérienne française et à la Société Latécoère. Bien qu’il y ait beaucoup de périls, de pannes et même de disparus sur ses missions, sa passion pour la volée reste pour toute sa vie et ses aventures l’inspirent pour ses œuvres. En fait, il écrit « le petit prince » pendant plusieurs missions périlleuses et il le publie en Amérique. En 1944 il n’est pas retourné d’une mission en Corse et « personne n’a pu donner la moindre précision sur le lieu et les circonstances exactes de sa mort, en plein ciel, comme il l’avait souhaitée »

Labels: